Voici les lieux et dates de ces réunions publiques :
– Sud-Saintonge : à Mirambeau (salle des fêtes), mardi 15 octobre à 18 heures. – Blayais : à Saint-Martin-Lacaussade (salle Jacques-Narbonne), mardi 1er octobre à 18h30. – Médoc : à Lesparre (espace François-Mitterrand), vendredi 11 octobre à 19 heures ;
à Cussac-Fort-Médoc (salle Joseph-Despaze), mercredi 16 octobre à 19 heures.
Ces réunions publiques sont programmées pour expliquer l’extension du périmètre, de 10 à 20 km seulement, du Plan Particulier d’Intervention (PPI) susceptible d'être déclenché en cas d'accident au Centre nucléaire de production d’électricité du Blayais, à Braud-et-Saint-Louis.
La prise d’iode stable est l’une des trois mesures que peut prendre le préfet en cas d’accident nucléaire avec la mise à l’abri et l’évacuation des populations.
Le médicament va empêcher la thyroïde d'absorber l’iode radioactif rejeté dans l'environnement. Toutefois, il ne protège pas contre les autres éléments radioactifs comme le césium 134 ou 137.
Il sera aussi question des bons réflexes à adopter en cas d'accident nucléaire.
En somme, d’intégrer que la notion de risque zéro n’existe pas, alors que des investissements lourds sont annoncés : 1 milliard d’euros entre 2020 et 2029 vont être investis afin de prolonger la durée de fonctionnement de la centrale nucléaire au-delà de 40 ans en renforçant le niveau de sûreté et de sécurité.
Pour en savoir plus : https://www.gouvernement.fr/risques/accident-nucleaire
Sources: Les Moutons enragés/ Sud-Ouest/IRSN Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire